Mon prochain modèle en construction... Un OC2 du BA
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Superbe Bernard
Et comme d'hab, très pro !
J'ai hâte de voir la suite...
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- netmetrique
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Quelques petits jours de vacances m'ont permis d'avancer un peu plus vite.
Et comme quelques âmes bien intentionnées qui œuvrent sur ce forum m'ont mis au défi de rendre les volets à l'avant fonctionnels, je n'ai bien sur pas pu faire autrement que de relever ce défi.
La difficulté n'a pas été de rendre ces volets mobiles, mais de réaliser un commande qui puisse permettre de maintenir ces volets en position avant ou arrière.
Les deux volets sont commandés par un arbre unique qui passe dans l'avant du bloc moteur et qui agit par deux petits ressorts sur des doigts soudés sur chaque volet. Cet axe est maintenu en position avant ou arrière par un ressort en bronze agissant sur un petit maneton.
Position arrière :
En fait le levier devrait être motorisé par un électroaimant pour être directement commandé par le décodeur. Mais il faut d'abord que je retrouve le vieux Loco-revue dans lequel était exposé le calcul des électroaimants à noyau plongeur. Cela fait bien 40 ans que je n'ai pas bobiné un électroaimant...
Et comme quelques âmes bien intentionnées qui œuvrent sur ce forum m'ont mis au défi de rendre les volets à l'avant fonctionnels, je n'ai bien sur pas pu faire autrement que de relever ce défi.
La difficulté n'a pas été de rendre ces volets mobiles, mais de réaliser un commande qui puisse permettre de maintenir ces volets en position avant ou arrière.
Les deux volets sont commandés par un arbre unique qui passe dans l'avant du bloc moteur et qui agit par deux petits ressorts sur des doigts soudés sur chaque volet. Cet axe est maintenu en position avant ou arrière par un ressort en bronze agissant sur un petit maneton.
Position arrière :
Position avant :
Il n'a pas été facile de caser ce mécanisme à l'intérieur de la cabine avant, déjà bien encombré par le capot moteur. Pas facile de le rentrer dedans et surtout de mettre les vis qui le maintienne en place.
Et voici le résultat, en marche avant :
Et maintenant en marche arrière :
Pour l'instant la commande est purement digitale, c'est à dire avec le doigt qui agit sur un levier qui passe au travers du châssis et est donc facilement accessible :
Je ne retiendrai pas la proposition de Michel Massot qui me proposait de lier ce levier aux tampons. Il est vrai que cela m'aurait rappelé mon premier train, avec la 020 mécanique Jouef qui, lorsqu'elle tapait sur le heurtoir, repartait en marche arrière. Mais je ne suis sans doute pas le seul à avoir ces souvenirs...
En fait le levier devrait être motorisé par un électroaimant pour être directement commandé par le décodeur. Mais il faut d'abord que je retrouve le vieux Loco-revue dans lequel était exposé le calcul des électroaimants à noyau plongeur. Cela fait bien 40 ans que je n'ai pas bobiné un électroaimant...
Modifié en dernier par netmetrique le 27 févr. 2012 21:49, modifié 1 fois.
Bernard Marchand
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Chapeau...Maitre Bernard.
Michel
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N'oublie pas de faire aussi le conducteur qui change de poste de conduite en fonction du changement de marche, commandé par le décodeur et fonctionnant avec un petit moteur ...netmetrique a écrit :...Et comme quelques âmes bien intentionnées qui œuvrent sur ce forum m'ont mis au défi de rendre les volets à l'avant fonctionnels, je n'ai bien sur pas pu faire autrement que de relever ce défi.
...
En fait le levier devrait être motorisé par un électroaimant pour être directement commandé par le décodeur.
Ah ? Parce que pour toi, bien sûr, il est plus facile de calculer le bobinage et de construire un électroaimant que d'en utiliser un tout fait qui existe déjà ... On ne vit pas sur la même planète ...netmetrique a écrit :... le vieux Loco-revue dans lequel était exposé le calcul des électroaimants à noyau plongeur. Cela fait bien 40 ans que je n'ai pas bobiné un électroaimant...
Ta prochaine étape sera sans doute de faire tes plaques de plasticard toi-même en synthétisant du polystyrène dans ton labo dans ta cave !
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Bonjour.
Je n'ai plus de mots pour qualifier ton travail :!:
J'en connais un qui envisageait d'ouvrir une porte de son Billard et de faire venir un personnage dans cette ouverture, mais pour l'instant il est vaincu par le fil à mémoire, donc immobilisme total.
As-tu pensé à utiliser l'électro d'un petit moteur d'aiguille.
Bon stop :arrow: c'est décidé, j'arrête le modélisme et je me mets au jardinage.
A bientôt
Je n'ai plus de mots pour qualifier ton travail :!:
J'en connais un qui envisageait d'ouvrir une porte de son Billard et de faire venir un personnage dans cette ouverture, mais pour l'instant il est vaincu par le fil à mémoire, donc immobilisme total.
As-tu pensé à utiliser l'électro d'un petit moteur d'aiguille.
Bon stop :arrow: c'est décidé, j'arrête le modélisme et je me mets au jardinage.
A bientôt
Patrick
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Mais non Patrick, je suis sûr que tu vas y arriver. Si tu remplaçais ton fil à mémoire par un moteur....tu pourrais peut être ouvrir la porte et déplacer ton personnage en même temps avec la même came.
Au fait ton BILLARD, c'est un modèle GEMME ou une conception perso.
mlm
PS: c'est un secret...... Il parait que Bernard motorise les essuies glaces......Il va bobiner 2 moteurs à l'échelle
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Çà, c'est facile !mlm a écrit : PS: c'est un secret...... Il parait que Bernard motorise les essuies glaces......Il va bobiner 2 moteurs à l'échelle
Mais, je ne monterai le système que quand tu auras réussi, pour ta part, à faire de la pluie avec goutte d'eau à l'échelle, et que le système sera fonctionnel sur ton réseau...
Bernard Marchand
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Il me semble pourtant que tu me l'avais montré en fonctionnement ?Capitole a écrit : J'en connais un qui envisageait d'ouvrir une porte de son Billard et de faire venir un personnage dans cette ouverture, mais pour l'instant il est vaincu par le fil à mémoire, donc immobilisme total.
C'est une des solutions que j'ai envisagées, surtout pour son silence de fonctionnement.
Quels sont les problèmes que tu as rencontré ? Quand on écoute Jacques Le Plat et certains partisans du FAM sur Ptitrain, il n'y a que des avantages.
J'ai eu ça il y a bien longtemps. Mais où est-ce maintenant ? Je pense que je mettrai moins longtemps à en refaire un qu'à retrouver la bête. En plus, cela me permettra de mieux maitriser les dimensions pour mon usage.Capitole a écrit : As-tu pensé à utiliser l'électro d'un petit moteur d'aiguille.
Bernard Marchand
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Capitole comment ça fonctionne ? c'est une usine ton billard
mlm
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- Fr. Tavernier
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Oh là là là là là les mecs, j'en reviens pas :!: :!: :!: :!: :shock: :shock: :shock: :shock:
Et Bernard qui en remet une louche avec le Billard de Capitole :roll: :roll: :roll:
Bravo à vous deux
Et Bernard qui en remet une louche avec le Billard de Capitole :roll: :roll: :roll:
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D'autres photos du Billard de Capitole, prises également lors des rencontres toulousaines du Gemme qui se sont tenues il y a un peu plus d'un an dans la ville rose:Fr. Tavernier a écrit : Et Bernard qui en remet une louche avec le Billard de Capitole :roll: :roll: :roll:
Peut-être ces photos lui donneront-elles l'envie de le finir...
Bernard Marchand
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Netmétrique a un disciple.......Capitole
mlm
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Peux t'on savoir l'origine des motorisations de ce BILLARD
S'agit t'il de bogies moteur Hollywood Foundry?????
Merci de la réponse!!!!
S'agit t'il de bogies moteur Hollywood Foundry?????
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- Bernard JUNK
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Je peux déjà répondre à cette question : non, les bogies Hollywood Foundry ne sont pas du tout comme ça.MAYERE a écrit :S'agit t'il de bogies moteur Hollywood Foundry?????
Christian, regarde ici : http://www.hollywoodfoundry.com
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Je pensais que Patrick répondrait lui-même. Mais il doit être occupé sur sa BF30...MAYERE a écrit : S'agit t'il de bogies moteur Hollywood Foundry?????
Les bogies ont été refaits par Patrick, en s'inspirant très librement de ceux que j'avais moi-même réalisé sur mon exemplaire, dont je lui avais fait parvenir les plans.
Patrick a également complètement refait le châssis car, de mémoire, celui d'origine était complètement "banané".
Et comme tout ce que fait Patrick, on peut dire que c'est du sérieux !
Mais il pourra sans doute t'en dire plus dès qu'il sera sur le forum.
Bernard Marchand
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Tu m'étonnes que c'est du sérieux !
Je ne lui connaissais pas pas ce genre de talent
Pourrait-on en savoir un peu plus de cette petite merveille de mécanique ?
BF30, mmm, ça sent le Quantum, ça....
Et le tour, c'est un quoi ?
J'ai hâte de voir la suite....
Je ne lui connaissais pas pas ce genre de talent
Pourrait-on en savoir un peu plus de cette petite merveille de mécanique ?
BF30, mmm, ça sent le Quantum, ça....
Et le tour, c'est un quoi ?
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Bonjour Michel.
Depuis quelques temps je travaillais sur des plans pour faire une mécanique, car à l'origine les bogies étaient en métal blanc et sans aucune partie mécanique.
Au hasard d'un forum, le Billard est venu sur le tapis, j'ai fais connaissance de Bernard qui m'a gentiment envoyé ses plans et j'ai fais ensuite un mix, ce qui a donné le résultat de la photo.
Pour l'utilisation du fil à mémoire, ce qui m'a séduit, c'est que 2 fonctions de décodeur suffisaient pour les 2 manoeuvres.
Un moteur obligerait à passer pr une inversion de polarité donc beaucoup de filasse et de place.
A suivre .....
Ce Billard est effectivement un modèle du GEMME qui dormait depuis bien longtemps (février 93 date de la poste sur les boîtes) en compagnie de son frère et sa petite soeur la remoque.mlm a écrit :Mais non Patrick, je suis sûr que tu vas y arriver. Si tu remplaçais ton fil à mémoire par un moteur....tu pourrais peut être ouvrir la porte et déplacer ton personnage en même temps avec la même came.
Au fait ton BILLARD, c'est un modèle GEMME ou une conception perso.
mlm
Depuis quelques temps je travaillais sur des plans pour faire une mécanique, car à l'origine les bogies étaient en métal blanc et sans aucune partie mécanique.
Au hasard d'un forum, le Billard est venu sur le tapis, j'ai fais connaissance de Bernard qui m'a gentiment envoyé ses plans et j'ai fais ensuite un mix, ce qui a donné le résultat de la photo.
Pour l'utilisation du fil à mémoire, ce qui m'a séduit, c'est que 2 fonctions de décodeur suffisaient pour les 2 manoeuvres.
Un moteur obligerait à passer pr une inversion de polarité donc beaucoup de filasse et de place.
A suivre .....
Modifié en dernier par Capitole le 16 févr. 2009 18:56, modifié 1 fois.
Patrick
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Bonjour Bernard.
Le plus gros problème c'est l'alimentation du fil qui est très importante et pas évidente à réaliser dans peu de place. En réalité pour bien faire il faut 2 alims différentes.
A suivre.....
Oui lors de ta visite, je l'avais fait fonctionner mais à la main.netmetrique a écrit :Il me semble pourtant que tu me l'avais montré en fonctionnement ?
Quels sont les problèmes que tu as rencontré ? Quand on écoute Jacques Le Plat et certains partisans du FAM sur Ptitrain, il n'y a que des avantages.
Le plus gros problème c'est l'alimentation du fil qui est très importante et pas évidente à réaliser dans peu de place. En réalité pour bien faire il faut 2 alims différentes.
A suivre.....
Patrick
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Re-bonjour, je prends un petit moment pour vous répondre.
Voici 2 photos postées par Bernard sur lesquelles une petite nomenclature donnera quelques Infos :
- Moteur maxon servant autrefois à remotoriser les CC 72000 Jouef acheté 9€
- Des roues Kit-Zéro, du laiton sous toutes ses formes (L'Octant) des engrenages (Le Train Magique)
- 2 circuits imprimés, celui du haut supporte tout le câblage électrique ainsi que l'éclairage int, celui du bas les relais de puissance pour commander les fils à mémoire qui pompent chacun 250mA.
- 2 décodeurs, 1 Loksound dans lequel j'ai chargé le fichier de De-Dion de Bernard ( au SCANDALE) le second commandera les fils à mémoire.
- le reste provient de la boîte à broc.
J'ai peu de temps à consacré aux forums, et pas beaucoup plus au Billard et encore moins au De-Dion, pour la raison suivante :
Un des 4 vérins qui permettant d'ouvrir 2 des garages montés sur coulisses.
En effet pour manoeuvré plus de 5 ml à la main c'était impossible pour une personne seule, donc nous avons conçus des vérins électriques. Les 4 nous sont revenus moins chers qu'un seul du commerce.
Pour le tour, en réalité j'en ai 2 mon bon vieil Emco Unimat ( le vrai pas la m.... en plastique) que je garde soigneusement et un Fartool 450 mm pour le gros travail.
Bon J'arrête là, je n'écris pas souvent, mais là je n'avais pas le choix.
Amicales salutations.
Usine...Usine... petite usine, 1/43,5 ème oblige.mlm a écrit :Capitole comment ça fonctionne ? c'est une usine ton billard
mlm
Voici 2 photos postées par Bernard sur lesquelles une petite nomenclature donnera quelques Infos :
Devine :?:MAYERE: a écrit : Peux t'on savoir l'origine des motorisations de ce BILLARD
S'agit t'il de bogies moteur Hollywood Foundry?????
Merci de la réponse!!!!
- Moteur maxon servant autrefois à remotoriser les CC 72000 Jouef acheté 9€
- Des roues Kit-Zéro, du laiton sous toutes ses formes (L'Octant) des engrenages (Le Train Magique)
- 2 circuits imprimés, celui du haut supporte tout le câblage électrique ainsi que l'éclairage int, celui du bas les relais de puissance pour commander les fils à mémoire qui pompent chacun 250mA.
- 2 décodeurs, 1 Loksound dans lequel j'ai chargé le fichier de De-Dion de Bernard ( au SCANDALE) le second commandera les fils à mémoire.
- le reste provient de la boîte à broc.
La BF 30 après quelques tours de fraises, des taraudages est au repos, il faut dire qu'au garage on se caille un peu en ce moment, donc attendons des jours plus propices.netmetrique a écrit : Je pensais que Patrick répondrait lui-même. Mais il doit être occupé sur sa BF30...
J'ai peu de temps à consacré aux forums, et pas beaucoup plus au Billard et encore moins au De-Dion, pour la raison suivante :
Vue de dessous pendant la phase de câblage.
Vue de dessus d'une partie des garages (2 x 12 voies) de gauche, celui de droite est plus petit.
Un des 4 vérins qui permettant d'ouvrir 2 des garages montés sur coulisses.
En effet pour manoeuvré plus de 5 ml à la main c'était impossible pour une personne seule, donc nous avons conçus des vérins électriques. Les 4 nous sont revenus moins chers qu'un seul du commerce.
Pour la BF 30, c'est tout à fait cela : Optimum/Quantum, elle est arrivée entre Noël et jour de l'an ( le traineaux du Pére Noël était un peu juste côté charge, donc il a fallu attendre la livraison suivante)Fr. Tavernier a écrit :Tu m'étonnes que c'est du sérieux !
Je ne lui connaissais pas pas ce genre de talent Wink
Pourrait-on en savoir un peu plus de cette petite merveille de mécanique ?
BF30, mmm, ça sent le Quantum, ça....
Et le tour, c'est un quoi ?
Pour le tour, en réalité j'en ai 2 mon bon vieil Emco Unimat ( le vrai pas la m.... en plastique) que je garde soigneusement et un Fartool 450 mm pour le gros travail.
Bon J'arrête là, je n'écris pas souvent, mais là je n'avais pas le choix.
Amicales salutations.
Modifié en dernier par Capitole le 16 févr. 2009 19:30, modifié 1 fois.
Patrick
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Capitole a écrit : Pour l'utilisation du fil à mémoire, ce qui m'a séduit, c'est que 2 fonctions de décodeur suffisaient pour les 2 manoeuvres.
Un moteur obligerait à passer pr une inversion de polarité donc beaucoup de filasse et de place.
Le gros atout du fil à mémoire c'est effectivement sa simplicité de commande à partir d'un décodeur :Capitole a écrit : Le plus gros problème c'est l'alimentation du fil qui est très importante et pas évidente à réaliser dans peu de place. En réalité pour bien faire il faut 2 alims différentes.
- Fonction Off : Position 1 (repos)
- Fonction On : Position 2 (travail)
Par contre, ce qui me gène c'est le maintien qui se fait en consommant du courant, ce qui n'est pas très écologique. C'est surtout que cela ne me plait pas trop de voir un fil chauffant dans une caisse en plastique.
C'est pourquoi, je pensai commander par le fil à mémoire un bistable mécanique, un peu à l'image des commandes d'interrupteur par bouton poussoir :
- 1ère Impulsion : le FAM agit sur le bistable qui se positionne en position 1,
- 2ème Impulsion : le FAM agit sur le bistable qui se positionne en position 2, et ainsi de suite.
Patrick, pour la commande des FAM, je pense que tu connais la commande à courant constant présentée sur Ptitrain (Commande à courant constant) ou sur la base d'un LM317 (LM 317)
Mes dernières cogitations me conduisent plutôt vers une solution a commande par came fabriquée sur la base d'un micromoteur, avec point d'arrêt à 0° et 180° de la came par un micro rupteur
- 1ère Impulsion : la came va jusqu'à la position 180° et s'arrête par détection de la position par le microrupteur,
- 2ème Impulsion : la came va jusqu'à la position 180°+180°=0° et s'arrête de nouveau par détection de la position par le microrupteur. Et ainsi de suite.
La commande des positions 1 et 2 de la commande s'effectue par une bielle fixée sur la came.
Il ne me reste plus qu'à trouver les pièces et dessiner tout ça.
Bernard Marchand
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Merci Capitole pour toutes ces précisions et chapeau bas pour l'ensemble de tes réalisations !
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Merci Franck :oops:
Venant de toi, j'apprécie beaucoup le compliment, mais je ne t'arrive pas à la cheville.
Bernard je t'appelle.
Venant de toi, j'apprécie beaucoup le compliment, mais je ne t'arrive pas à la cheville.
Bernard je t'appelle.
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Hou là là, détrompes toi, ne serait ce que ton Billard....
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Quelques nouvelles de mon OC2 qui avance toujours aussi doucement.
Lors de mon dernier post du 13 février dernier je vous ai montré comment j'ai rendu fonctionnel les deux volets du coté moteur, commandés tous deux simultanément par un doigt qui passait au travers du châssis.
Je n’étais pas encore arrivé à l’état final que je souhaitais, c'est-à-dire commander ce mécanisme par une fonction inutilisée du décodeur. Il me fallait donc motoriser tout ça. Pour ce faire j’avais pensé à plusieurs solutions qui ne me satisfaisaient malheureusement pas.
• Electro-aimant : Le système est à première vue simple. Malheureusement, ce système est grevé par pas mal d’inconvénients qui me l’ont fait rapidement abandonner. Si on souhaite une force suffisante, la taille de l’électro aimant était trop importante pour rentrer sans problème le mécanisme dans la place disponible. De plus l’intensité électrique n’est pas négligeable (j’ai souvenir de 500mA à 1 A pour les moteurs d’aiguilles Jouef de ma jeunesse) et je doute que cela convienne au décodeur. Ou alors il faut monter un système à décharge capacitive, mais c’est un système de plus à caser, avec un gros condensateur électrochimique pas facile à cacher. De plus, ce type de commande utilise généralement deux électro-aimants (un pour chaque position) et ne peut être commandé facilement par une seule fonction du décodeur. Ou alors via un circuit électronique supplémentaire qu’il faudra réussir à caser. Bien sur il ya la solution de mettre un flip flap mécanique, un peu à l’image des boutons poussoir électrique (un coup : volets ouverts vers l’avant, un autre coup : volets ouverts vers l’arrière). Mais ça complique quand même pas mal le système.
• Fil à mémoire : Compte tenu de la course souhaitée, le système demanderait une longueur d’environ 15 à 20 cm de fil. Pas facile à caser ça dans l’espace imparti, même avec un (ou plutôt des) renvois pour replier le fil sur lui-même ! L’intensité (150 mA) est compatible avec une commande par le décodeur, mais de par le principe même, la nécessité de maintenir ces 150mA et surtout, pour maintenir le volet dans une des positions, dissiper aux petits oiseaux la chaleur correspondante me gène pas mal. Bien sur, comme pour la commande par électro, il y aurait la possibilité de mettre un flip/flap mécanique, mais là encore au prix d’une complexité supplémentaire.
• Servo-moteur de télécommande : Ces petites merveilles sont utilisées couramment par les modélistes navals ou d’avions. On en trouve à des prix abordables, made in china, modèles fortement décriés par ces amateurs, car peu fiable. Mais, dans mon cas, je n’ai pas vraiment à craindre de crash si le volet ne se met pas dans la bonne position. Malheureusement les plus petits sont encore trop gros pour moi ! De plus ils utilisent un signal de commande assez particulier qui me conduirait à la mise eu point d’un circuit électrique pas très simple.
Il ne semblait pas y avoir de solution jusqu’à ce que je pense aux moteurs de "pager" (1), récupérés sur de vieux téléphones portables, qui trainaient dans mes réserves. Avec un diamètre de quatre millimètres, cela rentrait sans problème. Il n’y avait plus qu’à construire un mécanisme sur cette base. Un système conçu sur le principe d’une vis sans fin longue, tel qu’utilisé par exemple dans les moteurs d’aiguille Fulgurex fut rapidement éliminé : Pas facile de commander une inversion du sens de rotation avec le signal celui sortant du décodeur.
Je me suis donc finalement tourné vers un mécanisme à came. Cette came tourne d’un demi-tour pour se positionner dans une position puis un autre demi-tour la ramène en position initiale, avec détection de chaque demi-tour pour arrêt du moteur par un rupteur sur le bord de la came. Le système retrouvait sa simplicité et le principe d’une commande par impulsion. Et comme j’étais dans la récup (il n’y a pas que notre ami Tram qui en fait), l’utilisation d’un rupteur récupéré dans un matériel informatique hors d’usage s’imposait (c’est fou ce qu’on peut trouver comme choses intéressantes la dedans).
La réalisation fut autrement plus délicate ! Les engrenages les plus petits qu’on trouve sur le marché, en modules 0,3 sont trop gros pour tenir dans la place impartie. De plus si le moteur fait 4 mm de diamètre, son axe de sortie fait quand à lui 0,7 mm de diamètre. Même en regardant tous mes fonds de tiroirs et toutes les montres et vieux réveils en pièces détachées que j’y conserve (on ne sait jamais, ça pourrait servir...), impossible d’y trouver mon bonheur, c’est à dire les engrenages et surtout une vis sans fin pour entraîner la came. Restait alors la seule solution, les faire soi-même.
Un certain nombre doivent déjà me prendre pour un fou : où trouver des fraises modules aussi petites (Je peux vous fournir des adresses, par exemple au Royaume Unis) et surtout, à quel prix (là c’est une autre affaire) ? Compte tenu de ce dernier point il me fallait trouver une autre solution. Celle-ci a résidé simplement en l’utilisation d’une fraise couteau qui permet de se fixer soi-même les caractéristiques des engrenages à réaliser. Avec ce principe, j’étais capable de réaliser tous les engrenages dont j’aurai besoin : Il n’y avait plus qu’à dessiner.
Le premier point fut de fixer les caractéristiques des engrenages, c’est à dire surtout leur module. J’ai choisi un module de 0,159. A priori, cette valeur peut paraître étrange ! Elle a simplement été imposée par la fabrication de la vis sans fin. Quoi de plus simple pour réaliser celle-ci que de prendre un pas simple pour l’avance du tour. Un pas de 0,5 mm était facile à obtenir avec les engrenages en ma possession. Or 0,5/Pi = 0,159. J’avais donc mon module. De plus possédant un plateau diviseur de 36 trous, cela me faisait déjà une réduction de 1/36 pour le premier étage de réduction à vis sans fin, tout ça pour une roue de 6,05 mm de diamètre. Ca rentre facilement cette fois. Et comme ces petits moteurs tournent vite, autant prévoir un second étage ce qui fut fait par un pignon de 10 dents qui attaquait une autre roue de 36 dents. Bref, une réduction totale de 1/130 qui tient dans moins de 13 x 6,1 mm. Le pied ! Et voici les résultats de l’étude :
Lors de mon dernier post du 13 février dernier je vous ai montré comment j'ai rendu fonctionnel les deux volets du coté moteur, commandés tous deux simultanément par un doigt qui passait au travers du châssis.
Je n’étais pas encore arrivé à l’état final que je souhaitais, c'est-à-dire commander ce mécanisme par une fonction inutilisée du décodeur. Il me fallait donc motoriser tout ça. Pour ce faire j’avais pensé à plusieurs solutions qui ne me satisfaisaient malheureusement pas.
• Electro-aimant : Le système est à première vue simple. Malheureusement, ce système est grevé par pas mal d’inconvénients qui me l’ont fait rapidement abandonner. Si on souhaite une force suffisante, la taille de l’électro aimant était trop importante pour rentrer sans problème le mécanisme dans la place disponible. De plus l’intensité électrique n’est pas négligeable (j’ai souvenir de 500mA à 1 A pour les moteurs d’aiguilles Jouef de ma jeunesse) et je doute que cela convienne au décodeur. Ou alors il faut monter un système à décharge capacitive, mais c’est un système de plus à caser, avec un gros condensateur électrochimique pas facile à cacher. De plus, ce type de commande utilise généralement deux électro-aimants (un pour chaque position) et ne peut être commandé facilement par une seule fonction du décodeur. Ou alors via un circuit électronique supplémentaire qu’il faudra réussir à caser. Bien sur il ya la solution de mettre un flip flap mécanique, un peu à l’image des boutons poussoir électrique (un coup : volets ouverts vers l’avant, un autre coup : volets ouverts vers l’arrière). Mais ça complique quand même pas mal le système.
• Fil à mémoire : Compte tenu de la course souhaitée, le système demanderait une longueur d’environ 15 à 20 cm de fil. Pas facile à caser ça dans l’espace imparti, même avec un (ou plutôt des) renvois pour replier le fil sur lui-même ! L’intensité (150 mA) est compatible avec une commande par le décodeur, mais de par le principe même, la nécessité de maintenir ces 150mA et surtout, pour maintenir le volet dans une des positions, dissiper aux petits oiseaux la chaleur correspondante me gène pas mal. Bien sur, comme pour la commande par électro, il y aurait la possibilité de mettre un flip/flap mécanique, mais là encore au prix d’une complexité supplémentaire.
• Servo-moteur de télécommande : Ces petites merveilles sont utilisées couramment par les modélistes navals ou d’avions. On en trouve à des prix abordables, made in china, modèles fortement décriés par ces amateurs, car peu fiable. Mais, dans mon cas, je n’ai pas vraiment à craindre de crash si le volet ne se met pas dans la bonne position. Malheureusement les plus petits sont encore trop gros pour moi ! De plus ils utilisent un signal de commande assez particulier qui me conduirait à la mise eu point d’un circuit électrique pas très simple.
Il ne semblait pas y avoir de solution jusqu’à ce que je pense aux moteurs de "pager" (1), récupérés sur de vieux téléphones portables, qui trainaient dans mes réserves. Avec un diamètre de quatre millimètres, cela rentrait sans problème. Il n’y avait plus qu’à construire un mécanisme sur cette base. Un système conçu sur le principe d’une vis sans fin longue, tel qu’utilisé par exemple dans les moteurs d’aiguille Fulgurex fut rapidement éliminé : Pas facile de commander une inversion du sens de rotation avec le signal celui sortant du décodeur.
(1) Moteur qui munis d’un contrepoids sur l’arbre servent de vibreur lorsque le téléphone est en mode silence. On peut les récupérer sur des téléphones hors d’usage, mais on en trouve également sur internet pour un prix modique d’un ou deux dollars !
Je me suis donc finalement tourné vers un mécanisme à came. Cette came tourne d’un demi-tour pour se positionner dans une position puis un autre demi-tour la ramène en position initiale, avec détection de chaque demi-tour pour arrêt du moteur par un rupteur sur le bord de la came. Le système retrouvait sa simplicité et le principe d’une commande par impulsion. Et comme j’étais dans la récup (il n’y a pas que notre ami Tram qui en fait), l’utilisation d’un rupteur récupéré dans un matériel informatique hors d’usage s’imposait (c’est fou ce qu’on peut trouver comme choses intéressantes la dedans).
La réalisation fut autrement plus délicate ! Les engrenages les plus petits qu’on trouve sur le marché, en modules 0,3 sont trop gros pour tenir dans la place impartie. De plus si le moteur fait 4 mm de diamètre, son axe de sortie fait quand à lui 0,7 mm de diamètre. Même en regardant tous mes fonds de tiroirs et toutes les montres et vieux réveils en pièces détachées que j’y conserve (on ne sait jamais, ça pourrait servir...), impossible d’y trouver mon bonheur, c’est à dire les engrenages et surtout une vis sans fin pour entraîner la came. Restait alors la seule solution, les faire soi-même.
Un certain nombre doivent déjà me prendre pour un fou : où trouver des fraises modules aussi petites (Je peux vous fournir des adresses, par exemple au Royaume Unis) et surtout, à quel prix (là c’est une autre affaire) ? Compte tenu de ce dernier point il me fallait trouver une autre solution. Celle-ci a résidé simplement en l’utilisation d’une fraise couteau qui permet de se fixer soi-même les caractéristiques des engrenages à réaliser. Avec ce principe, j’étais capable de réaliser tous les engrenages dont j’aurai besoin : Il n’y avait plus qu’à dessiner.
Le premier point fut de fixer les caractéristiques des engrenages, c’est à dire surtout leur module. J’ai choisi un module de 0,159. A priori, cette valeur peut paraître étrange ! Elle a simplement été imposée par la fabrication de la vis sans fin. Quoi de plus simple pour réaliser celle-ci que de prendre un pas simple pour l’avance du tour. Un pas de 0,5 mm était facile à obtenir avec les engrenages en ma possession. Or 0,5/Pi = 0,159. J’avais donc mon module. De plus possédant un plateau diviseur de 36 trous, cela me faisait déjà une réduction de 1/36 pour le premier étage de réduction à vis sans fin, tout ça pour une roue de 6,05 mm de diamètre. Ca rentre facilement cette fois. Et comme ces petits moteurs tournent vite, autant prévoir un second étage ce qui fut fait par un pignon de 10 dents qui attaquait une autre roue de 36 dents. Bref, une réduction totale de 1/130 qui tient dans moins de 13 x 6,1 mm. Le pied ! Et voici les résultats de l’étude :
A suivre ...
Modifié en dernier par netmetrique le 01 mars 2009 12:08, modifié 1 fois.
Bernard Marchand
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Mon prochain modèle en construction...
Maintenant venant aux choses pratiques.
La fabrication de la vis sans fin qui fait 2 mm de diamètre, au tour, ne pose pas de problème, si ce n’est que dans compte tenue de son diamètre et de sa longueur, il a été indispensable de prendre la pièce entre pointe car sinon la vis était franchement conique !
Mais d’abord, une fraise couteau quèsaco ? C’est simplement une fraise une dent qui est utilisée montée dans un support. Du fait qu’elle n’est constituée que d’une seule dent, cette fraise peut facilement être faite par soi-même. Elle a simplement été taillée dans un morceau d’acier rapide tiré d’une lame de scie sauteuse qui a rendu l’âme il y a de nombreuses années. L’avantage c’est que le trou est déjà percé, ce qui serait impossible à faire compte tenu de la trempe.
La fraise montée sur son support :
La fabrication de la vis sans fin qui fait 2 mm de diamètre, au tour, ne pose pas de problème, si ce n’est que dans compte tenue de son diamètre et de sa longueur, il a été indispensable de prendre la pièce entre pointe car sinon la vis était franchement conique !
Maintenant, passons à la réalisation des engrenages droits.
Mais d’abord, une fraise couteau quèsaco ? C’est simplement une fraise une dent qui est utilisée montée dans un support. Du fait qu’elle n’est constituée que d’une seule dent, cette fraise peut facilement être faite par soi-même. Elle a simplement été taillée dans un morceau d’acier rapide tiré d’une lame de scie sauteuse qui a rendu l’âme il y a de nombreuses années. L’avantage c’est que le trou est déjà percé, ce qui serait impossible à faire compte tenu de la trempe.
Une fois grossièrement mise en forme à la meule, la partie active est taillée à la fraiseuse à la scie diamantée après avoir été montée sur un support. Le tout a été lui-même monté sur le diviseur pour réaliser proprement et surtout symétriquement les angles de dépouille. Mais comme je n’ai plus mes yeux de jadis, le tout a du être fait sous la loupe !
La fraise montée sur son support :
Le premier engrenage, celui qui engrène la vis sans fin, est réalisé en Delrin. Sa particularité est que les dents présentent un angle de 3° pour s’adapter à l’angle d’hélice de la vis sans fin. Pour ce faire, le diviseur de mon vieil Unimat est pris dans l’étau de la fraiseuse en l’inclinant d’un angle correspondant. L’ébauche est montée sur un support pris en pince. Ce support a été préalablement fait au tour déjà monté sur la pince qu’il convient de ne surtout pas démonter pour garantir une parfaitement concentricité.
En toute rigueur, le pignon de 10 dents aurait du être réalisé en acier. Pour une question de facilité, il a simplement été taillé dans une tige de laiton à décolleter. L’épaulement est ensuite repris au tour, là encore sans démonter la pince.
L’engrenage en delrin est ensuite simplement monté en force sur le pignon. La fabrication de l’engrenage en laiton de 36 dents de l’étage secondaire ne pose pas de problème.
On peut voir sur cette photo que les dents du pignon sont fortement penchées ! Cela résulte d’un mauvais réglage de la hauteur de la fraise par rapport à l’axe du pignon. Conséquence : poubelle et réalisation d’une autre pièce….
A suivre...
Modifié en dernier par netmetrique le 02 mars 2009 10:42, modifié 1 fois.
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