Esthétiquement, ça n'a pas beaucoup avancé, parce que je me suis consacré à la mécanique et à l'électricité.
Après avoir réglé (au pif) le calage des roues; j'ai mis les bielles d'accouplement.
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Pour cela, j'ai utilisé des pièces que j'avais en stock depuis un temps certain, avec un point de colle pour faire tenir l'axe dans le trou de la roue motrice et un point de soudure pour fixer provisoirement la bague sur l'axe.
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Le jeu restant suffisant, ça tournait sans point dur à poste fixe, mais il était temps de tester le fonctionnement en ligne.
L'essentiel de la prise de courant venant du tender, j'ai allongé le châssis de celui-ci aux côtes du plan, technique Tyrphon garantie !
Ce châssis est muni de quatre essieux parallèles. J'ai conservé ce principe après avoir vérifié qu'il acceptait encore de petits rayons de l'ordre de 30cm.
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J'ai réinstallé le bissel arrière sur la loco, après avoir un peu limé le dessus du support en plastique, car celui-ci était devenu trop haut du fait de l'installation d'une roue plus grande et menaçait de soulever l'essieu moteur arrière. Cela m'a permis de retrouver le crochet d'attelage bissel-tender. J'ai relié esectiquement le tender à la loco.
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Je réinstalle provisoirement la caisse du tender allemand (pour le lest), ainsi que l'ébauche de chaudière (pour le fun).
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Et voici mes premiers essais en ligne, dans un environnement nordique inhabituel pour cette machine !.
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https://youtu.be/ACaZOPP__d8[/youtube]
Ça tourne à peu près rond, malgré mes cotes de calage et mon "quartering" au pif, ainsi que le voilage de certaines roues...
Bien sûr, il n'y a aucun ralenti, mais c'est le lot commun des mécaniques de l'époque, et de celles de Berliner en particulier. Je savais à quoi m'attendre.
En tout cas, je peux continuer.