Tu ferais mieux de retourner à ta Mallet au 1/6 qu'on attend toujours avec impatience....
Un BB Crochat et ses plateformes Pechot en O14
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Bernard Marchand
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Voici quelques photos de la mécanique terminée :
Bernard Marchand
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Mais ça rentre comment dans la caisse :shock: :shock: :shock:
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Chôli trafail !
Bon toujours pas trouvé d'Arcap, et pas eu le temps de causer dans bigophone pour appeler l'Octant :evil: :evil:
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C'est bien beau d'avoir des bogies, encore faut-il que ceux-ci puissent se monter sur la caisse !
Ceci sera réalisé par des arceaux fixés sous le châssis, les bogie venant s'articuler en partie basse. Pour garder une souplesse permettant un gauche des deux bogie l'un par rapport à l'autre, l'arceau est plaqué sur l'arceau par l'intermédiaire d'une rondelle élastique en chrysocal.
L'usinage de la partie basse a été une petite partie de plaisir. Dommage qu'on ne la voie plus lorsque les bogies sont sur les rails...
Ceci sera réalisé par des arceaux fixés sous le châssis, les bogie venant s'articuler en partie basse. Pour garder une souplesse permettant un gauche des deux bogie l'un par rapport à l'autre, l'arceau est plaqué sur l'arceau par l'intermédiaire d'une rondelle élastique en chrysocal.
L'usinage de la partie basse a été une petite partie de plaisir. Dommage qu'on ne la voie plus lorsque les bogies sont sur les rails...
Comme l’œil acerbe de Michel l'avait repéré, il est nécessaire de retoucher le châssis pour permettre le passage de l'arbre de liaison entre les les bogies.
Il est maintenant possible de fixer les bogies sur la caisse...
Et de mettre enfin l'engin sur ces roues.
Bernard Marchand
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Il est maintenant nécessaire d'amener le courant électrique depuis les roues jusqu'au moteur.
Des palpeurs en chrysocal sont soudés sur un petit morceau de circuit imprimé qui est fixé sur le châssis par l'intermédiaire d'un rondelle isolante. Le contact sur le flanc intérieur des roues s'effectue par des rivets de cuivre.
Démarrage sous 0,7 V en marche avant et 0,8 V en marche arrière. Je ne suis pas mécontent, du moins compte tenu du fait que l'engin n'a eu encore aucun rodage.Vitesse max sous 14 V : 35 km/h. Cela correspond à mes calculs (30 km/h sous 12V) !
Quant au test de la capacité de traction, rien de mieux que de faire un essai en pente.
Une rampe de 150 ‰ est avalée sans coup férir... c'est la voie qui glisse sur la planche sur laquelle elle est posée qui limite l'essai.
A plat, la force de traction est juste limitée par le patinage des deux bogies. Il n'y a aucun lestage, mais ça pousse déjà sacrément le doigt.
Des palpeurs en chrysocal sont soudés sur un petit morceau de circuit imprimé qui est fixé sur le châssis par l'intermédiaire d'un rondelle isolante. Le contact sur le flanc intérieur des roues s'effectue par des rivets de cuivre.
Et c'est maintenant le temps des premiers essais. Quelques allers et retours sur la courte voie d'essai pour vérifier que cela fonctionne, un graissage des engrenages et une petite goutte d'huile sur les palpeurs de courant puis ce sont les premières mesures.
Démarrage sous 0,7 V en marche avant et 0,8 V en marche arrière. Je ne suis pas mécontent, du moins compte tenu du fait que l'engin n'a eu encore aucun rodage.Vitesse max sous 14 V : 35 km/h. Cela correspond à mes calculs (30 km/h sous 12V) !
Quant au test de la capacité de traction, rien de mieux que de faire un essai en pente.
Une rampe de 150 ‰ est avalée sans coup férir... c'est la voie qui glisse sur la planche sur laquelle elle est posée qui limite l'essai.
A plat, la force de traction est juste limitée par le patinage des deux bogies. Il n'y a aucun lestage, mais ça pousse déjà sacrément le doigt.
Je peux enfin nettoyer le tour et la fraiseuse et me remettre à la cyano pour terminer la caisse...
Bernard Marchand
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Cet homme à de ces doigts.... pffffff
:roll:
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Steamy Stef
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EST CE QUE LE FREINAGE SERA FONCTIONNEL
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Non, je pense qu'il installera une crémaillèreYves 89 a écrit : 24 janv. 2012 09:47Compte tenu de la pente sur le réseau, ce serait souhaitable!!!
Le problème sur cette terre, c'est que les autres sont trop nombreux (Louis Scutenaire)
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personne s'etonnerait!
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Une crémaillère ? C'est déjà plus qu'un projet !
Mais je bute toujours sur la réalisation des bogies car, comme il se doit, je souhaite une crémaillère réellement débrayable....
Bernard Marchand
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ça y est.....il est reparti sur un vieux rêve.....et les projets en cours vont encore être repoussés aux calandes grecques....
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Un jour je le ferai ! Un jour je le ferai...
Mais ce n'est pas encore pour tout de suite.
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Bernard Marchand
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Excuse moi l'ignorance mais où est la difficulté? (pour toi bien entendu! )
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En fait ne seraient-ce pas plutôt les 4 essieux qui seraient débrayables sur les secteurs à crémaillère pour éviter le glissement des boudins qui augmente avec leur usure.
J'avais vu, il y a bien longtemps, dans "model railroad craftman" une transmission hydraulique en HO. Ce pourrait être une solution élégante: prise directe pour le pignon de la crémaillère et entrainement hydraulique des roues. On doit pouvoir circuler sur toutes les sections et éviter le glissement, donc l'usure des boudins.
Bon, mais ce n'est pas totalement conforme aux bogies des motices du TMB.
Le plus simple c'est de revenir à la vapeur: pas de débrayage, entrainement par bielles!
Trève de persiflage, je rève (en tout bien tout honneur, inutile de cafter à Marie Christiane!) depuis longtemps de Mademoiselle d'Angerville en IIm ou en Om.
J'avais vu, il y a bien longtemps, dans "model railroad craftman" une transmission hydraulique en HO. Ce pourrait être une solution élégante: prise directe pour le pignon de la crémaillère et entrainement hydraulique des roues. On doit pouvoir circuler sur toutes les sections et éviter le glissement, donc l'usure des boudins.
Bon, mais ce n'est pas totalement conforme aux bogies des motices du TMB.
Le plus simple c'est de revenir à la vapeur: pas de débrayage, entrainement par bielles!
Trève de persiflage, je rève (en tout bien tout honneur, inutile de cafter à Marie Christiane!) depuis longtemps de Mademoiselle d'Angerville en IIm ou en Om.
Yves 89
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Yves a parfaitement posé le problème.
Sur un chemin de fer à crémaillère, si la roue dentée est solidaire des roues, et à moins que le diamètre des roues motrices ne soit strictement identique au diamètre primitif de la roue dentée, il se produit obligatoirement un glissement de la roue par rapport au rail : soit que la roue aille plus vite que la crémaillère si le diamètre est supérieur, soit qu'elle aille moins vite dans le cas contraire.
Pour pallier ce phénomène, et s'il est possible de renoncer franchement à se servir de l'adhérence pour la traction, les roues porteuses peuvent être montées folles sur leur essieu et c'est la roue dentée qui supporte tout l'effort de traction. C'est par exemple le cas sur le Rigi.
Dans le cas contraire, le glissement entraine donc inéluctablement une usure plus ou moins rapide de la roue en raison des frottements.
En traction vapeur, un palliatif est d'utiliser deux moteurs différents, un agissant sur les roues et l'autre sur la roue dentée. Cet artifice permet en outre de prévoir des vitesses de fonctionnement différentes sur les sections en adhérence et sur les sections à crémaillère.
Dans le cas de traction électrique, il est possible d'utiliser une crémaillère débrayable. Dans ce cas, l'entrainement des roues est débrayée lorsque l’entrainement par crémaillère est utilisé.
Si en réalité, le débrayage est commandé par le conducteur peu après l'entrée sur la zone d'entrée de la crémaillère, en modèle réduit, ce débrayage se doit d'être réalisé automatiquement. C'est cet automatisme qui n'est pas évident à réaliser car bien entendu je me refuse à une commande de type électrique ou autre (quand à une commande hydraulique je n'ose y penser). J'ai quelques idées, mais n'ai pas eu le temps de les concrétiser à ce jour.
Pour ceux que les crémaillères intéressent, je recommande la lecture du livre Chemins de fer à crémaillère, A. Lévy-Lambert, disponible en téléchargement gratuit sur le site Gallica de la BNF.
Sur un chemin de fer à crémaillère, si la roue dentée est solidaire des roues, et à moins que le diamètre des roues motrices ne soit strictement identique au diamètre primitif de la roue dentée, il se produit obligatoirement un glissement de la roue par rapport au rail : soit que la roue aille plus vite que la crémaillère si le diamètre est supérieur, soit qu'elle aille moins vite dans le cas contraire.
Pour pallier ce phénomène, et s'il est possible de renoncer franchement à se servir de l'adhérence pour la traction, les roues porteuses peuvent être montées folles sur leur essieu et c'est la roue dentée qui supporte tout l'effort de traction. C'est par exemple le cas sur le Rigi.
Dans le cas contraire, le glissement entraine donc inéluctablement une usure plus ou moins rapide de la roue en raison des frottements.
En traction vapeur, un palliatif est d'utiliser deux moteurs différents, un agissant sur les roues et l'autre sur la roue dentée. Cet artifice permet en outre de prévoir des vitesses de fonctionnement différentes sur les sections en adhérence et sur les sections à crémaillère.
Dans le cas de traction électrique, il est possible d'utiliser une crémaillère débrayable. Dans ce cas, l'entrainement des roues est débrayée lorsque l’entrainement par crémaillère est utilisé.
Si en réalité, le débrayage est commandé par le conducteur peu après l'entrée sur la zone d'entrée de la crémaillère, en modèle réduit, ce débrayage se doit d'être réalisé automatiquement. C'est cet automatisme qui n'est pas évident à réaliser car bien entendu je me refuse à une commande de type électrique ou autre (quand à une commande hydraulique je n'ose y penser). J'ai quelques idées, mais n'ai pas eu le temps de les concrétiser à ce jour.
Pour ceux que les crémaillères intéressent, je recommande la lecture du livre Chemins de fer à crémaillère, A. Lévy-Lambert, disponible en téléchargement gratuit sur le site Gallica de la BNF.
Bernard Marchand
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Il me semble que les vapeurs du TMB n'avaient pas de système de débrayage. Me trompe-je?
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Un BB Crochat en O14
Je suis loin d'avoir la culture encyclopédique de certains et ne peux m'appuyer que sur les éléments glanés dans les deux sources que sont d'une part un article de J. Chapuis dans CFRU n°192 de 1985 et le livre consacré au TMB de José Banaudo aux Editions du Cabri.tyrphon a écrit : 25 janv. 2012 21:23Il me semble que les vapeurs du TMB n'avaient pas de système de débrayage. Me trompe-je?
Pour ce qui est des locomotives à vapeur, elle était effectivement du type simple. Les deux cylindres vapeur attaquaient un axe intermédiaire sur lequel étai fixé la roue dentée. Cet axe transmettait également le mouvement aux deux essieux par l'intermédiaire de deux bielles triangulaires. Les roues et la roue dentée était donc en permanence accouplées.
Pour ce qui est des automotrices, les roues dentées sont reliées aux moteur par un étage de réduction réducteur mécanique. Par contre pour ce qui est des essieux, les deux sources sont moins précises. J. Banaudo dit seulement que les essieux sont entraînés par un coupleur hydraulique. Dans l'article de J. Chapuis, il est dit : "... s'il n'est pas indispensable de débrayer l’entrainement des roues sur les sections à crémaillère - les locomotives du TMB ne le permettaient pas ..." (pourquoi l'imparfait ?), mais également un peu plus loin "Pour éviter l'emballement d'un moteur sur adhérence, ceux-ci ne peuvent être mis sous tension que si les 4 embrayages sont enclenchés".
Alors crémaillère débrayable ou non?
Dans le doute, et par défi personnel, j'ai décidé que celle de mon modèle le serait !
Bernard Marchand
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Comment aurait-il pu en être autrement? :roll: :roll: :roll:netmetrique a écrit : 25 janv. 2012 22:33 Alors crémaillère débrayable ou non?
Dans le doute, et par défi personnel, j'ai décidé que celle de mon modèle le serait !
Le problème sur cette terre, c'est que les autres sont trop nombreux (Louis Scutenaire)