Les Forums du GEMME

Je vais revenir à mon idée primitive et primaire..

J'avais d'abord pensé à une ficelle accrochée à la traverse avant ...mais avec des moteurs c'est mieux ; voici le truck Arrière.....

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Et pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué

[quote="netmetrique"]
[quote="mlm"]
il en faudrait 2....un par truc
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Très mauvais idée de motoriser les deux trucks avec deux moteurs indépendants.
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Très mauvaise idée ? Je n'irai pas jusque là ... Bien sûr, ce n'est peut-être pas l'idéal, mais dans un but de simplification, ça peut être une solution acceptable.

Ma Péchot Gécomodel qui a ses deux trucks motorisés fonctionne parfaitement et je n'ai jamais observé de patinage.

"La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi” (Albert Einstein)
[Je ne mets pas la fin de sa phrase, car ici ça fonctionne ...]

Il avait parfaitement raison......

"La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi” (Albert Einstein)

[quote="mlm"]
J'avais d'abord pensé à une ficelle accrochée à la traverse avant ...mais avec des moteurs c'est mieux ; voici le truck Arrière.....
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Si tu veux une mule pour attacher à la ficelle  Juste à motoriser la mule

Je pense que dans une solution à deux moteurs, si l'adhérence au rail est suffisante et les moteurs non surdimensionnés les charges se répartissent et seules les intensités dans chaque moteur seront différentes. D'ailleurs les problèmes liés aux doubles tractions en modélisme avec deux engins de même type sont plus posés par la captation du courant que par la mécanique.

Yvan

Modeste expérience avec du LGB j'avais rajouté un tender motorisé derrière une 020 Stainz sans relier les prises d'alimentation des deux moteurs, c'était une catastrophe . Par contre je me suis fait une 020 020T Mallet  (celle de mon avatar) avec deux blocs moteurs de 020 Stainz, je n'ai aucun problème car c'est un décodeur qui alimente le tout  Mécaniquement il est très difficile de trouver deux blocs moteurs qui fonctionnent à la même vitesse.

[quote="Y"]

Je pense que dans une solution à deux moteurs, si l'adhérence au rail est suffisante et les moteurs non surdimensionnés les charges se répartissent et seules les intensités dans chaque moteur seront différentes. D'ailleurs les problèmes liés aux doubles tractions en modélisme avec deux engins de même type sont plus posés par la captation du courant que par la mécanique.

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Le problème est précisément dans ton "si" :

-1- Les moteurs que nous utilisons dans nos modèles réduits sont précisément largement surdimensionnés ET -2- l'adhérence est très limitée (ce pourquoi on emploie parfois des bandages d'adhérence en caoutchouc).

Pour illustrer ce surdimensionnement des moteurs, à titre d'exemple, pour mon Crochat motorisé par ses deux bogies synchrones par un seul moteur 2020, j'avais effectué un tests sur une pente de 150 ‰. Ces tests avaient été limités par le glissement de la voie et non pas par l'adhérence de l'engin sur la voie. Pourtant il n'y avait aucune différence de vitesse par rapport au fonctionnement en palier, preuve du surdimensionnement des moteurs.
   
L'obtention de vitesses réalistes nous conduit à utiliser le plus souvent des rapports de démultiplications importants, associés souvent à des trains d'engrenages non réversibles. La vitesse de rotation de la roue est dans ces conditions peu conditionnée par l'effort de traction et quasiment identique à la vitesse à vide.  J'avais effectué il y a fort longtemps des mesures de vitesse de rotation sur des 2020, pourtant connus comme des moteurs de qualité. Pour une même tension, les vitesses à vide pouvaient varier de plusieurs pourcents. Cette différence n'est pas énorme, mais suffisante pour entraîner le glissement d'un des bogies.
 
En zéro voie normale, sur des engins de type BB ou CC, certains motorisent leur loco avec un moteur de type 2020 par essieu. Mais, outre que les réductions sont plus faibles que pour les vitesses limitées de nos locomotives en voie métrique, les masses sont également beaucoup plus importantes que pour nos engins. Il s'ensuit que les forces de frottement rail/roues (et donc l'adhérence) sont considérablement plus importants (loi de Coulomb), favorisant la synchronisation des vitesses de chaque essieu.

Et voici les travaux sur la deuxième

Je pensais attendre que Jean-Guy termine la sienne...mais comme ça ne le dérange pas que je commence avant

Pour varier un peu, et obtenir un engin à attelage latéral, j'opte pour une version Charente à abri queue d'hirondelle modernisée. On trouve quelques photos par-ci par là.
première étape : Les roues, elles sont de 950mm 9 rayons sur cette version!!
j'avais approvisionné des 22 mm 18 rayons Romford, mais les boudins frôlaient (frottaient), du coup rechausse en 21.7mm, et là ça va

De gauche à droite : Les anciens bandages, les roues avec ces mêmes bandages, et celle en 21.7

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sur axe et modif des rayons

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à bientôt,
Yvan

Les roues ne sont pas calées à 90 degrés mais ce n’est que provisoire ....  Mais je crois avoir compris pourquoi

[quote="mlm"]
Les roues ne sont pas calées à 90 degrés mais ce n’est que provisoire ....
[/quote]

Forcément Michel, c'est pour illustrer le manchonnage des axes...

Yvan

Ta réponse à été plus rapide que ma réflexion ...

Je passe l'assemblage des longerons,

Pour le trois points, comme mon essieu arrière sera entrainé directement, il sera fixe. Les deux avants seront en appui sur leurs centre d'axe sur un support balancier pivotant entre eux.

Le balancier :

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Pivot du balancier

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et les deux réunis

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à bientôt,
Yvan

Pose du motoréducteur, d'une prise de courant provisoire, et ça roule

Le support moteur est soudé sur le côté ou se trouve la contrainte de la couronne.

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derrière

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devant

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dessous

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à bientôt,
Yvan

Petite avancée du projet...

Les roues est bielles se sont baignées, puis  pour coller avec ma version, j'ai remplacé les boulons de traverses par du fil affleurant

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ensuite j'ai remplacé les enveloppes des cylindres du kit par du tube lisse, le purgeur avant du tiroir est supprimé, et les plaques de fermeture des distributeurs sont devenues plates (enfin presque, un peu pénible sans fraiseuse).

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J'ai également ajouté les conduites vapeur sur les tiroirs. Ce qui donne ça pour l'instant

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à bientôt,
Yvan

Entre deux activités extra modélisme, j'ai commencé à ma pencher sur la problématique de la caisse, et en fait toutes les queues d'hirondelle ne sont pas forcément les mêmes

Ainsi celle de l'Ain sont taillées comme les TIV classiques, tandis que les Charentaises ont un garde corps plus bas. En regardant la version Td'A il me semble que ce n'est pas respecté. Comme doc permettant de s'apercevoir du schmilblick, il y a un beau rassemblement de photos dans "Corpet, Louvet et Cie" de S Hooss p 95 et suivantes.

résumé en photo :

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ça ne m’arrange pas trop mais bon...

Yvan

Ressortie timidement de sa boite, et montages des freins arrières

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J'ai refait les pièces 32 (renvoi de tringle vers l'avant) avec un entraxe de 4.5mm pour que ça passe mieux.

à bientôt,
Yvan

Suite avec les sabots avant,

en préparation :

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ils sont amovibles en écartant légèrement, et en retirant le pivot des tringles sur ceux de l'arrière.

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sur le bas de la photo, les doublures qui supporteront les consoles de l'embiellage.

à bientôt,
Yvan

Entrée dans le vif, un côté à la fois, pour l'instant ça tourne encore

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à bientôt,
Yvan

Et un grand succès pour le côté gauche : ça fonctionne

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Si j'échoue sur l'autre, il faudra que je boucle le réseau

à bientôt,
Yvan

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"L' horloger" à encore frapper 

Merci Gérard,

le côté droit fut fatal à un foret de 0.9mm, mais il fonctionne également : elle pourra utiliser la plaque tournante

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à bientôt,
Yvan

Quelle précision dans l'assemblage ! Bravo 

Merci Gérard, 

Passage à la superstructure, n'étant pas inscrit au fan-club d’Héphaïstos, j'ai profité de la carotte de moulage pour éviter une soudure.

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une rondelle taillée dans un cylindre de bon diamètre permet d'assurer positionnement et serrage par l'intérieur de la boite à fumée,

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Première pièce liée à cette version Charentaise : le foyer ;un allongement de la chaudière remplace le fond du foyer prévu dans le kit. La rallonge est tournée en laiton, le petit décroché permet l'emboitement sur la chaudière en tôle, la face de la cabine camouflera l'absence de la partie inférieure de ce nouveau foyer.

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à bientôt,
Yvan

[quote="Y"]
..., j'ai profité de la carotte de moulage pour éviter une soudure.
[/quote]

Astucieux ...

[quote="Bernard JUNK"]
[quote="Y"]
..., j'ai profité de la carotte de moulage pour éviter une soudure.
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Astucieux ...
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Je ferai pareil pour le support de soupapes 

Une pensée émue pour celui ou ceux qui se sont coltinés la mise en forme de la cabine 

La découpe des flancs est dans le prolongement de la soute à charbon, pour les versions Charentaises, il faut également modifier la hauteur du décroché arrière. sur une version hirondelle de l'Ain ce ne serait pas nécessaire.

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sur le flanc droit, les rivets de fixations de la manette de frein sont positionnés différemment, les deux encore visible après la coupe sont à araser, et deux blocs de quatre à ajouter.

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N'ayant pas de riveteuses, il sont d'abord repoussés sur l'envers, il en résulte une bosse pas terrible comme sur la photo de dessus.  Pour les rendre un peu plus agréables à l'oeil , il sont ensuite mater entre une plaquette de maillechort percée à 0.8mm, et une surface dure serrées à la multiprise (Sur la photo la pince est décalée pour montrer le trou, je serre bien sur dessus).

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à bientôt,
Yvan