Le projet avait été un peu mis en sommeil depuis le mois d'avril, mais mon retour sur Paris m'a permis d'avancer un peu.
Reprenons un peu le cahier des charges. Comme il s'agit de faire un matériel bon marché, il s'agira forcément d'un modèle simplifié par rapport au projet cité ci-dessus, ne serait-ce que pour en diminuer au maximum le temps de montage. Aussi :
- Les parties non directement visibles lorsque la voiture est sur les rails seront complètement escamotées (en particulier le châssis),
- Les parties peu visibles seront seulement évoquées,
- Les parties directement visibles seront traitées avec le maximum de détails et de finesse.
Point important, le modèle devra pouvoir être adapté aussi bien à l'écartement Om classique de la NEM (22,5 mm), que de l’écartement à l'échelle (23 mm) que à l'cartement O2 (16,5 mm).
J'oubliai, le modèle pourra être facilement modifié pour disposer d'une suspension trois points pour ceux qui le souhaitent !
Le modèle utilisera des roues du commerce, même s'ils elles ne sont pas tout à fait conformes.
Globalement, diverses technologies seront mis en jeu, bien que certaines ne soit pas encore exactement définies, dépendant entre autres du nombre de modèle qui seront produits.
Comme le modèle se devra d'être parfaitement fonctionnel, un châssis en laiton photogravé a d'ores et déjà été retenu. Les pièces d'accastillage seront en fonderie bronze, seule technologie permettant des tirages de qualité dans les nombres d’exemplaires envisagés. De plus ces pièces sont communes et pourront être réemployées pour le projet de fourgon de Michel Massot. Quant à la caisse, plusieurs techniques sont envisageable et sont encore en cours d'étude.