Un BB Crochat et ses plateformes Pechot en O14
Posté : 18 déc. 2011 23:16
A l'occasion d'Expométrique 2011 à Sedan, j'ai eu un coup de foudre pour le superbe locotracteur BB Crochat conçu par Claude Buzer et ai donc été amené à abandonner (provisoirement pour ceux qui me connaissent) le Om pour le O14.
De retour, j'ai aussitôt attaqué la construction de la caisse, qui est malheureusement pratiquement restée en plan du fait de mes occupations professionnelles...
Néanmoins, cet engin n'étant pas motorisé, j'ai été amené à concevoir une mécanique, selon mes critères habituels.
Pour ne pas déroger à mes habitudes, l'utilisation d'un 2020b s'imposait d'elle-même, d'autant plus qu'il ne manque pas de place dans la caisse. Pour ce qui est de la suspension trois points : pas très facile à faire dans un bogie relativement compact par rapport à du Om ; Mais l'utilisation d'une roue de chant, comme sur mon billard A150, permet de résoudre le problème sans trop de difficultés.
Par contre plus difficile d'avoir un engin avec les deux bogies réellement moteur. J'avais souvenir d'avoir fait ça avec deux moteurs (un sur chaque bogie) dans ma prime jeunesse sur du HO et d'avoir été à l'époque très déçu par ce système conduisant systématiquement à avoir une perte d'adhérence, les deux moteurs ne tournant jamais à la même vitesse ce qui conduit un des bogies à patiner. La solution d'avoir le moteur sur la caisse implique presque obligatoirement que celui-ci soit placé au centre, précisément à un endroit visible : Inacceptable. La solution finale a finalement été d'avoir deux bogies identiques, reliés par un barre de traction et deux joints à cardans. La liaison entre les deux châssis s'effectuera au niveau de l'étage intermédiaire de réduction. Par contre, compte tenu de la place disponible limitée dans un bogie en O14, un module de 0,3 s'est imposé pour l'ensemble de la pignonerie ; il va falloir être soigneux dans la fabrication des engrenages et rigoureux dans les entraxes...
Les châssis de chaque bogie sont constitués de deux pièces en laiton fraisé, articulées l'une par rapport à l'autre. Un seul des bogies porte le moteur unique.
Compte tenu du fait qu'il est aujourd'hui possible de trouver des roulements à billes à des prix tout à fait abordables, tout les axes sont montés sur roulement, aussi bien les essieux que les axes intermédiaires.
De retour, j'ai aussitôt attaqué la construction de la caisse, qui est malheureusement pratiquement restée en plan du fait de mes occupations professionnelles...
Néanmoins, cet engin n'étant pas motorisé, j'ai été amené à concevoir une mécanique, selon mes critères habituels.
Pour ne pas déroger à mes habitudes, l'utilisation d'un 2020b s'imposait d'elle-même, d'autant plus qu'il ne manque pas de place dans la caisse. Pour ce qui est de la suspension trois points : pas très facile à faire dans un bogie relativement compact par rapport à du Om ; Mais l'utilisation d'une roue de chant, comme sur mon billard A150, permet de résoudre le problème sans trop de difficultés.
Par contre plus difficile d'avoir un engin avec les deux bogies réellement moteur. J'avais souvenir d'avoir fait ça avec deux moteurs (un sur chaque bogie) dans ma prime jeunesse sur du HO et d'avoir été à l'époque très déçu par ce système conduisant systématiquement à avoir une perte d'adhérence, les deux moteurs ne tournant jamais à la même vitesse ce qui conduit un des bogies à patiner. La solution d'avoir le moteur sur la caisse implique presque obligatoirement que celui-ci soit placé au centre, précisément à un endroit visible : Inacceptable. La solution finale a finalement été d'avoir deux bogies identiques, reliés par un barre de traction et deux joints à cardans. La liaison entre les deux châssis s'effectuera au niveau de l'étage intermédiaire de réduction. Par contre, compte tenu de la place disponible limitée dans un bogie en O14, un module de 0,3 s'est imposé pour l'ensemble de la pignonerie ; il va falloir être soigneux dans la fabrication des engrenages et rigoureux dans les entraxes...
Les châssis de chaque bogie sont constitués de deux pièces en laiton fraisé, articulées l'une par rapport à l'autre. Un seul des bogies porte le moteur unique.
Compte tenu du fait qu'il est aujourd'hui possible de trouver des roulements à billes à des prix tout à fait abordables, tout les axes sont montés sur roulement, aussi bien les essieux que les axes intermédiaires.