Mon "défi" Gecomodel : une 130T... et une 031T !
Posté : 10 janv. 2015 12:51
Je n'en avais - prudemment - parlé qu'à quelques amis seulement, mais mon "défi 2015"... roule depuis ce matin !
Riche de l'expérience du montage de deux vapeurs allemandes Weinert et d'une Bemo, j'avais très envie de me mesurer à l'un de ces mythiques kits Gecomodel des années 80 qui m'étaient inaccessibles à l'époque et sur lesquels j'ai tant lu et entendu depuis... : l'occasion s'en est finalement présentée il y a peu, dénichée par un ami sous la forme d'un de ces kits "non monté/même pas déballé" comme on en trouve encore... près de trente ans après leur diffusion !
Il s'agit, en l'occurence, d'une 130T Fives-Lille des CFD, second modèle "vapeur" sorti par Gecomodel après la célèbre 030-030T "Vivarais"... dont la difficulté de montage est, je crois, proverbiale.
Dire que le montage de cette 130T est aisé pour moi serait un mensonge : pour ce que je viens d'en assembler c'est ardu... mais pas insurmontable, car le kit est sensiblement mieux conçu que je ne l'imaginais même si le montage m'a déjà réservé quelques surprises : les spécialistes de la marque remarqueront d'ailleurs que, sur mon châssis, les prises de courant sont fort peu orthodoxes car... en dépit de mes efforts je n'ai pas réussi à utiliser celles prévues d'origine, dont je n'aimais pas de toutes façon la conception "fixe" (mon bricolage, lui, a l'avantage d'être démontable en un tournemain, et je n'exclus pas de le recommencer en mieux, plus tard...).
Ce montage se fait "pas à pas", en échangeant mes impressions avec un autre amateur qui, curieuse coïncidence, monte le même modèle en même temps que moi !
Je tiens aussi à remercier mon "voisin" lorrain Bernard Junk pour ses encouragements, ses conseils et l'aide précieuse qu'il m'a fourni sous la forme du prêt... d'un châssis de la même machine (!) qu'il avait commencé dans les années 80 et laissé inachevé : cette possibilité de monter un châssis avec sous les yeux la version "quasi-terminée" est une aubaine rare !
Sur le cliché ci dessous, les deux châssis sur ma table de travail : en haut le maître, en bas l'élève ! On a rarement l'occasion de travailler dans des conditions aussi favorables :
Il me faut maintenant attaquer le montage de la caisse en laiton, qui sera une "première" pour moi : il y a peu, j'écrivais à un ami qu'une fois le châssis fonctionnel, la suite ne devrait plus être qu'une formalité : maintenant qu je suis "au pied du mur", je n'en suis plus aussi sûr...
À bientôt – j'espère – pour la suite du montage !
Riche de l'expérience du montage de deux vapeurs allemandes Weinert et d'une Bemo, j'avais très envie de me mesurer à l'un de ces mythiques kits Gecomodel des années 80 qui m'étaient inaccessibles à l'époque et sur lesquels j'ai tant lu et entendu depuis... : l'occasion s'en est finalement présentée il y a peu, dénichée par un ami sous la forme d'un de ces kits "non monté/même pas déballé" comme on en trouve encore... près de trente ans après leur diffusion !
Il s'agit, en l'occurence, d'une 130T Fives-Lille des CFD, second modèle "vapeur" sorti par Gecomodel après la célèbre 030-030T "Vivarais"... dont la difficulté de montage est, je crois, proverbiale.
Dire que le montage de cette 130T est aisé pour moi serait un mensonge : pour ce que je viens d'en assembler c'est ardu... mais pas insurmontable, car le kit est sensiblement mieux conçu que je ne l'imaginais même si le montage m'a déjà réservé quelques surprises : les spécialistes de la marque remarqueront d'ailleurs que, sur mon châssis, les prises de courant sont fort peu orthodoxes car... en dépit de mes efforts je n'ai pas réussi à utiliser celles prévues d'origine, dont je n'aimais pas de toutes façon la conception "fixe" (mon bricolage, lui, a l'avantage d'être démontable en un tournemain, et je n'exclus pas de le recommencer en mieux, plus tard...).
Ce montage se fait "pas à pas", en échangeant mes impressions avec un autre amateur qui, curieuse coïncidence, monte le même modèle en même temps que moi !
Je tiens aussi à remercier mon "voisin" lorrain Bernard Junk pour ses encouragements, ses conseils et l'aide précieuse qu'il m'a fourni sous la forme du prêt... d'un châssis de la même machine (!) qu'il avait commencé dans les années 80 et laissé inachevé : cette possibilité de monter un châssis avec sous les yeux la version "quasi-terminée" est une aubaine rare !
Sur le cliché ci dessous, les deux châssis sur ma table de travail : en haut le maître, en bas l'élève ! On a rarement l'occasion de travailler dans des conditions aussi favorables :
Il me faut maintenant attaquer le montage de la caisse en laiton, qui sera une "première" pour moi : il y a peu, j'écrivais à un ami qu'une fois le châssis fonctionnel, la suite ne devrait plus être qu'une formalité : maintenant qu je suis "au pied du mur", je n'en suis plus aussi sûr...
À bientôt – j'espère – pour la suite du montage !