Après une interruption de plus de six mois, j'ai commencé à me re-consacrer à ce projet. Plutôt que de polluer ce premier fil, il m'a semblé préférable de lui en consacrer un nouveau.
Commençons par un rappel de ce qui avait déjà été présenté.
Du fait de sa taille, il n'est pas possible d'imprimer sur mon imprimante résine la caisse sous une forme monobloc comme l'a conçu Franck. Il est donc nécessaire dans un premier temps d'éclater la caisse en plusieurs morceaux qui seront ensuite assemblés.
Des plots de positionnement sont prévus pour rendre plus facile le montage ultérieur. De plus les séparations sont positionnés de façon à rendre le plus aisées possible les opérations de masticage et ponçage inévitables en dépit de la bonne précision de l'impression.
Les pièces sont positionnées sur le plateau de l'imprimante et des supports et renforts provisoires qui seront éliminés avant montage sont ajoutés. Ceux-ci sont positionnés que l'opération soit la plus facile possible
Il n'y a plus ensuite qu'à lancer l'impression. Ce qui représente quand même au total 43 heures de travail à la machine...
Après élimination des supports, vient un premier montage à blanc, pour vérifier que tout se passe comme prévu.
Le montage définitif est réalisé en collant entre eux les éléments par de petits points de colle cyanoacrylate puis en comblant dans un second temps les interstices avec de la résine polymérisé ensuite avec une torche UV. Du fait de sa grande fluidité, la résine pénètre par capillarité au plus profond des plans de joints et on obtient alors une pièce quasi-monobloc en résine. Après un rapide ponçage des zones de liaison la caisse apparaît dans sa grande splendeur. Merci Franck...
Après application d'un voile d’apprêt, on voit qu'il reste quelques petits défauts qu'il sera nécessaire d'éliminer par masticage et ponçage, mais rien de plus qu'on avait antan avec les modèles en résine...
Mon modèle s'est ensuite tranquillement endormi au mois de novembre...