Les essieux sont déjà montés.
Je dois confesse qu’au début je pensais toutes les roues identiques, mais ce n’est pas le cas. Il est possible que celles-ci aient été moulées par paire (au moins l’empreinte maîtresse).
En fait, le léger décalage angulaire vient donner de l’avance ou du retard sur une roue.
Dans ce cas la bielle d’accouplement pivote légèrement.
Ce léger mouvement vient alors avancer ou retarder la rotation de l’essieu opposé en compensation.
Sur le châssis arrière qui a 2 roues entraînées , cette légère déformation vient immédiatement se refermer par la liaison des engrenages.
Sur le châssis avant, en déplaçant le châssis à la main, il y a une compensation immédiate et un rattrapage. Par contre si on fait tourner le système en l’air par son entraînement moteur, alors le verdict est immédiat : ça coince.
Comme tout ça est très petit, et délicat à manipuler il faut pas mal de patience pour obtenir une observation satisfaisante et reproductible.
Puis une fois le phénomène maîtrisé, la check-list des modes de défaillance est longue avant d’en arriver à examiner en détail les faces des roues.
C’est la raison pour laquelle j’ai partagé le truc, si ça peut servir…
